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Il y a un an, au coeur de la pandémie, nous rédigions notre première lettre d'infos. L'idée, partager des contenus inspirants pour participer à l'élan pour un changement du système... Aujourd'hui l'actualité c'est la guerre et c'est comme si nous n'avions toujours rien compris, nous dit  la chroniqueuse de Reporterre Corinne Morel Darleux (auteure du très recommandable 'Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce' dans son article 'Une pandémie, une guerre... et rien ne change'.

Ecologie sociale, mentale, éco-féminisme... Il est intéressant de se pencher sur ces concepts imaginés dans les années 1970 - 80 pour leur (re)donner du sens et expliquer leur nouvelle visibilité. L’origine du terme 'éco-féminisme' viendrait de Françoise d’Eaubonne, militante féministe française, auteure du manifeste, écrit en 1974, Le féminisme ou la mort (pointant l’oppression patriarcale des femmes et l’exploitation capitaliste de la planète ayant pour origine les mêmes mécanismes de domination et devant donc être combattus ensemble...), ou encore de Murray Bookchin, l’un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique.