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Ecologie sociale, mentale, éco-féminisme... Il est intéressant de se pencher sur ces concepts imaginés dans les années 1970 - 80 pour leur (re)donner du sens et expliquer leur nouvelle visibilité. L’origine du terme 'éco-féminisme' viendrait de Françoise d’Eaubonne, militante féministe française, auteure du manifeste, écrit en 1974, Le féminisme ou la mort (pointant l’oppression patriarcale des femmes et l’exploitation capitaliste de la planète ayant pour origine les mêmes mécanismes de domination et devant donc être combattus ensemble...), ou encore de Murray Bookchin, l’un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique.

Avant d'être associés à une fête religieuse et de se transformer en une grande fête commerciale, ces derniers jours de l'année sont plus anciennement liés au solstice d'hiver (moment précis où l'inclinaison de la terre est maximale par rapport au soleil qui rayonne sur l'hémisphère sud tandis que le nord se contente de quelques heures de lumière), après ce jour le plus court, on célèbre donc le retour de la lumière. Un article de REPORTERRE (de décembre 2020) nous fait ainsi voyager dans les temps de la Rome antique et des traditions celtiques mais malheureusement aussi dans l'idéologie nazie qui défendait l'idée d'un Noël « véritablement païen »,  reprenant l’idée d’une renaissance de la lumière incarnée cette fois par le IIIe Reich...